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Jeudi 7 juin 4 07 /06 /Juin 05:47

Le 9 Novembre dernier j'avais mis en ligne un récit intitulé "Une rencontre"...

Soleil de Juillet (http://soleildejuillet.over-blog.com) a eu l'envie et la gentillesse de se glisser dans la peau du personnage féminin... C'est donc sa version que je vous propose aujourd'hui... Remerciements et amitié à elle...

Voilà déjà quelques temps que j’échange avec toi, via Internet.

 

Tu t’appelles Éric, moi c’est Christine, alias « Chrysalide » sur la toile.

 

Au fil du temps nos échanges se sont fait plus complice, plus coquin, je passe un temps fou sur le net avec toi.

 

 

 

Souvent tu me taquines, ne comprenant pas ce qu’une femme heureuse en couple peut bien faire sur le net avec d’autres hommes. Il a été bien difficile de te faire comprendre que je ne cherchais pas une aventure réelle mais plutôt cette petite sensation très agréable qui donne du piment à la vie. Ce monde virtuel est un petit complément. Ma vie sur la toile est bonne pour mon équilibre personnel. Mon mari ne connaît rien de tout cela, c’est mon petit jardin secret à moi.

 

Je ne l’ai jamais trompé mon mari, nous sommes très heureux ensemble. Avec toi, je suis toute proche du faux pas… Mais plus les jours passent et moins j’ai le désir de le franchir ce pas. Pourtant tes mots m’emportent, me chavirent, la contradiction est grande. Tu sais si bien me toucher, m’ébranler et me faire perdre pied, c’est très troublant.

 

 

 

Je t’ai déjà rencontré à plusieurs reprises, mais nous n’avons jamais fait l’amour.

 

Notre première rencontre a eue lieu un dimanche. Ca a été un véritable crève cœur pour moi de devoir mentir à mon mari, j’ai prétexté une invitation de ma meilleure amie… je me suis sentis lamentable mais ça avait été plus fort que moi. Le pouvoir que tu as sur moi est devenu incontrôlable, je suis seule fautive, c’est moi qui ai voulu cette rencontre. J’ai même du lourdement insister pour que tu acceptes, ais-je donc perdue la raison…

 

 

 

Voici le dernier mail que je t’ai envoyé :

 

 

 

Cher Eric,

 

 

 

Demain serait donc le grand jour, celui où nous devrions franchir le cap pour nous offrir l´un à l´autre. Cela va peu être te sembler absurde…mais  j´ai une certaine appréhension. J´ai très envie de toi, mais j´aime si profondément mon mari que cela me dévore le cœur, serais-je capable de gérer l´après ?

 

Vais-je parvenir à me contenter d´une relation de « Maitresse-amant ».

 

Est-ce que je serais capable de rentrer chez moi le soir, le rejoindre lui, que j’aime,  sans laisser transparaître ma trahison.

 

N´aurais-je pas ce désir de le quitter pour vivre plus avec toi ?

 

Comment savoir la tournure que prendra notre histoire, comment mon cœur va réagir une fois que mon corps aura goutté à tes délices.

 

Voila les doutes qui envahissent mon esprit depuis quelques jours...

 

Jamais je n´aurais pensé aller jusque là un jour, les échanges sur le net n´étaient pour moi qu´un passe temps qui pimentait un peu ma vie, le tout sans conséquence. Jusqu´au jour où nos mots se sont fait plus pressants, plus intimes et complices. Il ne passe pas un jour sans que je ne me connecte, pas une heure sans que je ne pense à toi. Tu as prit une place dans ma vie, sans que je ne puisse rien y faire.

 

Avant de nous rencontrer, alors nous ne faisions qu´échanger, j´étais sous le charme de tes mots. Désormais, j´ai l´étrange impression que tu es totalement différent dans le réel. Tu n´es pas le même à travers tes mots, est ce que je me trompe en disant cela??

 

 

 

C´est dommage et j´en viens à regretter d´avoir insisté pour que nous rencontrions..

 

 

 

Tu me plais beaucoup, là n´est pas la question, je craque sur ton physique et je fonds sous les mots que tu m´envois via internet.

 

Seulement, une fois face à moi, tu n´es plus le même.

 

Derrière ton clavier, tu sembles toujours si impatient, si fou de désir, tes mots respirent ton envie de moi. Mais quand nous nous retrouvons, que nos corps sont proches l’un de l’autre, je ne vois pas cette étincelle dans tes yeux. Celle que je distingue si bien à travers tes mots. C´est comme si une kyrielle d´étoiles filante me traversait l´esprit quand je te lis. J´entre en ébullition, mes sens s´affolent, mon cœur palpite. Je n´ai alors plus qu´une seule envie, toi. T´avoir là, tout contre moi pour enfin assouvir tout ce désir que tu sais si bien éveiller...où se cache celui qui m´écrit quand tu es avec moi, j´aimerais tant le rencontrer lui …

 

 

 

Avant-hier quand tu m´as dit sur un coup de tête vouloir tout arrêter, j´ai ressentit un déchirement, une douleur fulgurante, mais également comme un grand soulagement. Je me suis dis qu´ainsi je n´aurais pas à céder à mes désirs. Ma vie pourrais alors reprendre son cours, je n´aurais plus cette obsessionnelle envie de toi que je ne sais m´expliquer. A chacune de nos rencontres j´ai été sur le point de te succomber… Ma raison a toujours eu le dernier mot, rien ne c´est encore passé, si ce n´est quelque baiser.

 

Car je dois bien te l´avouer, il n´y a qu´a travers tes mails et SMS que tu parviens à me rendre folle de désir. Dans ces cas là, ma fleur s´humidifie très rapidement, avec abondance, mais jamais cela ne m´est arrivée en ta présence. J´ai tout d´abord pensé que c´était nerveux, une sorte de blocage lié au stress et que je devais passer au dessus, faire abstraction mais j´en viens à me demander si j´ai vraiment envie que nous allions aux bouts de nos désirs.

 

 

 

Je suis désolée Eric, j´ai certes envie de toi, mais nous ne nous reverrons sans doute plus, ce mail est le dernier, à moins que tu n´ai envie de m´expliquer ton comportement, si il a une explication bien entendu ou me donner ton point de vue sur tout cela car moi je suis un peu perdue.

 

J’espère que tu ne m’en voudras pas trop, essais de me comprendre, je ne viendrais pas demain…

 

 

 

Je t’embrasse

 

Signé, Christine, alias Chrysalide

 

 

 

 

 

Moins de 30 minutes plus tard tu m´as envoyé un petit mail me disant que tu respectes mon choix, que tu le comprends mais qu´il faut tout de même que l´on se voit demain à l´hôtel car tu as des choses importante à me dire.

 

Tu me dis que mes mots t´ont touché et que tu ne peux plus rester silencieux. Tes mots m´intriguent, j´accepte, sûre de moi et de mon désir de ne pas aller plus loin.

 

Tu sembles comprendre que tu ne devras pas tenter de me faire succomber. C´est a cette seule condition que j´accepte le rendez vous.

 

 

 

Le lendemain, comme prévu je t’attends à l’hôtel, certaine que ma décision est la bonne.

 

Je suis assise sur le bord du lit quand, tout doucement, tu entres et me fixes, ton regard plongé dans le mien. J’ai sans doute un air hagard en te voyant ici… Toi mon amour… que fais-tu donc dans cette chambre…je me sens perdue, déstabilisée de te voir ici.

 

Sans me quitter des yeux tu approches et me pose ton index sur les lèvres, me faisant signe de ne pas dire un mot, je suis tétanisée…

 

 

 

Tu m’expliques tout ce que tu as fait, la façon dont tu m’as reconnu lors de nos échanges…ce désir que tu as eu de savoir jusqu’où je serais capable d’aller… comment tu as choisit Eric pour qu’il se rende à ta place à nos rendez vous.

 

Tu m’avoues combien tu es heureux que je n’ai pas eu l’envie ni le courage d’aller au bout, et de te tromper… Tu me glisses à l’oreille que c’est la plus belle preuve d’amour que je pouvais t’offrir… que tu as confiance en moi… plus que jamais, tout aussi troublante que soit cette situation…

 

Tu glisses tes lèvres dans mon cou, déploies tes mains sur mes courbes, t’attardes sur ma taille, relèves mon chemisier pour le sortir de ma jupe… Tu défais un à un les boutons puis m’en débarrasse avant de te saisir de mes seins, tu les caresses, les pinces. Ta bouche vient les goutter avant de remonter vers mes lèvres pour m’offrir le plus doux des baisers… Tu me susurres un je t’aime plein de sens en continuant à m’embrasser. Le moment est intense…si intense…

 

 

 

Ce jour là, dans cette chambre d’hôtel, nous avons fait l’amour comme jamais…

 

 

 

Je t’aime

Par François - Publié dans : Contributions
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 18:16

Très motivée par vos encouragements, Louise nous propose aujourd'hui une suite à l'histoire de Mademoiselle Louise...

Bonne lecture à tous...

                                                L’arroseur, arrosé !!!……

 

 

 

 

  Comme tous les jours, je prends mon travail à heure fixe, en bonne et dévouée secrétaire que je suis. Mais , aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres………….

Les pensées qui habitent mon esprit, me font jubiler intérieurement . Je dois porter un pli urgent à Monsieur, mon directeur…………..

Mon cœur bat la chamade, des gouttes de sueur perlent sur mon front. Je me pince les joues, reprends mon sang froid, frappe à la porte……..

- Entrez Mademoiselle Louise, que voulez-vous ?

- Un pli urgent vient d’arriver pour vous Monsieur.

- Eh bien donnez, donnez et sortez, merci Mademoiselle…….

Cette lettre vous intrigue, une grande enveloppe blanche, sertie d’une rose rouge comme emblème. Vous la tournez et retournez dans tous les sens, vous la sentez, un parfum acre et doux à la fois s’en dégage………

L’envie de voir le contenu est trop grande, n’y tenant plus, d’un coup vif de coupe- papier, vous l’ouvrez ……

Juste quelques mots, écrits à la plume. C’est une invitation de Madame André, vous êtes convié chez elle, une soirée où elle aimerait vous rencontrer, des gens comme vous qui aiment vivre leurs fantasmes. C’est tout………. Cela vous intrigue, vous ne connaissez pas cette personne. Vous mettez la lettre dans un de vos tiroirs, deux jours passent et vous la reprenez en main. Dans un premier temps vous avez décidé de ne pas vous rendre à cette invitation, mais la curiosité est la plus forte : le samedi suivant, sur votre trente et un, vous vous rendez à l’adresse indiquée….

Vous voilà devant la porte d’un hôtel particulier très chic. Vous sonnez, un maître d’hôtel vous ouvre en vous saluant, vous lui donnez votre invitation et il vous somme de le suivre…..

Vous vous retrouvez dans une pièce douillette et chaude, aux couleurs chatoyantes. Vous attendez là plus d’une heure. N’y tenant plus, vous vous apprêtez à partir, quand, soudain, la porte s’ouvre et une apparition divine se trouve là, devant vous, Madame…………., une grande femme, au teint blanc et cheveux d’ébène, dans un corps magnifique gainée d’une robe fourreau d’un rouge vif. Elle vous fait face, en vous toisant de la tête aux pieds, d’un regard glacé. Elle vous adresse enfin la parole et vous dit :

- Ainsi, c’est vous le fameux PDG de la firme XXX… - Oui, Madame, mais je ne …. Pas le temps de finir votre phrase. Une paire de gifles retentit et vous avez le feu aux joues…. - Je savais que vous viendriez et en plus de votre plein gré. Eh bien puisque tu aimes mettre du piment dans ta vie, nous allons te satisfaire. - Oui , mais… Une autre gifle claque , plus sèche encore que la précédente !

 - Vous parlerez quand je vous le demanderai, pas avant, me suis-je bien fait comprendre ? – Oui, Madame.

- Déshabille-toi, plus vite, allez, à poil ! Sans comprendre vous vous exécutez, tant  votre excitation est forte…. La honte vous envahit car votre sexe est dressé, dur à en éclater. Madame éclate d’un rire sonore et vous bande les yeux en vous entraînant derrière elle…..

Vous entendez  des gens discuter, des rires, des gémissements, Madame ordonne : - Tu vas nous servir de table à mon amie et à moi-même. Vous êtes à quattre pattes, bien cambré, on pose un plateau de verre sur vos épaules nues et vos fesses, le contact froid vous fait durcir encore davantage….

Le majordome pose les coupes et sert le champagnes sur votre dos.

-  Tu n’as pas intérêt à bouger, si les verres tombent, tant pis pour toi !!!

Quand ces dames on bu leurs coupes, on enlève le plateau et Madame vous attirre entre ses cuisses, sa robe s’ouvre et vous sentez de longues janbes gainées de soie, elle ouvre son sexe humide et chaud, elle ordonne :

- Lèche petite salope , fais voir ce que tu sais faire, il paraît que c’est ta spécialité……..

Vous agitez votre langue, vous humez l’odeur de sa cyprine, elle se trémousse sous vos coups de langue agiles, vous pousse la tête dans son intimité à vous en étouffer.

Soudain vous sentez un doigt fouiller l’entrée de votre anus, vous voulez vous retourner , mais elle vous tire par les cheveux et vous en empêche…. Une brûlure vous déchire, un sexe énorme vous pénètre sans aucun ménagement, un cri s’étouffe dans votre gorge. Au début le va et vient dans votre intimité est douloureux, à la limite du supportable, puis très vite fait place au plaisir, vous bandez très dur et sans rien y comprendre , vous giclez sur le tapis et les pieds de Madame, en un râle retentissant………

Madame reste de marbre - C’est bien, dit-elle, tu es une bonne salope, mais maintenant il faut nettoyer tes saletés, comme une bonne chienne que tu es. Alors vous léchez votre sperme, sur le tapis, puis délicatement , sur les pieds de Madame…

Elle vous relève d’un coup sec, enlève votre bandeau et là !: Vous êtes face à Louise, oui, votre secrétaire, avec un gode ceinture à la taille, vêtue simplement de ses bas noirs, qui rit à gorge déployée, à en perdre haleine………..

 

 

 

 

Louise

Par François - Publié dans : Contributions
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Samedi 25 novembre 6 25 /11 /Nov 19:14

Aujourd'hui une contribution qui m'a été adressée par Louise, une lectrice assidue....

Mademoiselle Louise

 

 Une belle après-midi d’automne ! Une de ces journées que j’affectionne particulièrement. Par la fenêtre entrouverte de mon bureau, je pouvais voir au loin les arbres de la forêt qui affichaient leurs couleurs chatoyantes, le reflet du soleil qui caressait les feuilles doucement, tendrement, une dernière fois avant qu’elles ne s’envolent en tourbillonnant………………

 

A cette époque, j’étais secrétaire de direction d’une grande entreprise et mon patron, un homme froid et rigide, me sermonnait souvent à propos de mes rêveries incessantes. Je devais lui remettre pour la fin de journée un dossier urgent et je savais que si mon travail n’était pas terminé en temps et en heure voulus, j’allais au devant de graves problèmes. Je me mis donc immédiatement au travail, les yeux rivés sur l’écran de mon pc, et soudain sans savoir pourquoi je me laissai aller à penser aux mains de mon patron… Ces mains larges et fermes, à vrai dire, me faisaient beaucoup fantasmer et provoquaient en moi des réactions troublantes…

 

- Mademoiselle Louise, veuillez venir dans mon bureau immédiatement, j'ai besoin de vous pour un courrier urgent!....

 

L'ordre de Monsieur résonne dans ma tête et me saoule de bonheur et d'appréhension : Que me réserve t-il encore? Je sais très bien qu'en fait Monsieur n'a pas besoin de sa secrétaire, mais de" sa chose " pour assouvir je ne sais quelle perversion............

 

Cela m'excite terriblement ! Comme toujours ses ordres sont respectés à la lettre : je porte un tailleur gris souris très strict, bien échancré sur l'encolure, sans aucun sous -vêtement dessous, uniquement des bas noirs à couture..........

 

Mon excitation est telle que sur mon passage, pour me rendre au bureau de Monsieur, les collègues que je croise ne peuvent en aucun cas manquer de voir la pointe de mes seins qui saillent, de façon obscène, sous mon tailleur.......... 

 

L’effet est immédiat, je mouille abondamment et sens la cyprine humidifier mon intimité rapidement.

 

Je suis devant votre porte :deux petits coups timides et j'entends votre voix rauque retentir..........

 

- Entrez, Louise, entrez, mais bon dieu, pourquoi étiez-vous si longue???? Vous savez que je n'aime pas attendre!!!  En conséquence vous devez être punie, vous le savez bien?

 

-Oui Monsieur ! Je lui réponds comme dans un songe, un brouillard épais m'envahit et je me dirige vers lui, fais volte face, me présente, offerte ..........

 

Monsieur me bascule sur ses genoux , doucement et fermement à la fois, en travers de son grand fauteuil noir , retrousse ma jupe d'un coup sec, et caresse longuement la chute de mes reins. Il laisse ses doigts flâner sur la courbe de mes fesses, les palpe, souligne l’ovale de chacun de mes deux globes généreux et offerts ……………

 

De temps en temps, il descend doucement jusqu’à mon sexe qu’il effleure tout aussi délicatement, laisse un doigt courir le long de ma fente qui s’entrouve naturellement et laisse couler son jus sucré. Il remonte sa main jusqu’à ma bouche, m’ordonne de lui lécher les doigts :

 

-Regarde ma petite cochonne, comme tu mouilles, tu devrais avoir honte !! Nettoie-moi tout ça, dépêche-toi ! D’un coup de langue avide je lèche ses doigts pleins de mon odeur, je me délecte du goût de ma mouille,  je n'en peux plus , je sens que je vais exploser de jouissance, quand soudain une vive brûlure me rappelle à mes sens, une autre puis encore une autre. Monsieur me fesse violemment, sans s'arrêter une seconde, je gémis, puis je crie, j'implore, je supplie, mais rien n'y fait, Monsieur se défoule sur mon postérieur en m'injuriant… Il me couvre de tous les noms lubriques qui lui viennent à l'esprit.......... La honte m’envahit , car je sais que la porte du bureau est entrouverte et que mes collègues n'en perdent pas une miette...........

 

En effet la porte de mon bureau est restée entrouverte, ce qui permet à mon patron de me voir en train de rêvasser alors qu’il passait par là, avant de se rendre en salle de conférence et de me prendre en faute. Je le vois faire demi-tour et le voilà planté devant moi, m’imposant sa haute silhouette, l’air sévère………..

 

Il se trouve devant moi, son bas-ventre à hauteur de mon regard, et je ne peux m’empêcher de fixer mes yeux sur son sexe et………………

 

             Puis le calme, mon fessier est bien rouge et me brûle agréablement. C’est une de ces souffrances douces que j’aime beaucoup, d’ailleurs Monsieur le sait bien et en profite allègrement……………. Monsieur ordonne, je me relève il me dit séchement : - Maintenant réparre tes bêtises et suce bien , que je n'aie pas encore à me fâcher,........

 

Je vous prends dans ma bouche, vous suce avidement, je monte, je descends le long de votre membre durci. Il palpite sous ma langue, dans ma bouche offerte comme un écrin de velours………. De mes doigts, je pétris vos couilles, les caresse, je les sens gonflées dans ma main, se durcir de volupté, je sens tout votre sexe vivre et vibrer sensuellement. Vous m’insultez, cela me plaît et me fait mouiller de plus belle, je dégouline de plaisir et de honte, ma langue revient titiller votre gland rougi d’excitation, je l’enroule de ma langue avide de vous, me faisant insistante sur le bout, je sens monter votre désir, vous empoignez ma chevelure à pleine main et, soudain, vous vous videz dans ma bouche… Je reçois votre nectar, chaud et parfumé, comme une récompense à ma docilité.............

 

Vous caressez doucement mon visage,en me regardant droit dans les yeux… Cela me gêne, je baisse la tête, je vous entends dire: - Eh bien, Louise, je crois que vous avez du travail maintenant !

 

- Oui , Monsieur,bien sûr, beaucoup de travail, merci Monsieur!!!

 

La porte de mon bureau a bien claqué et je sursaute sur ma chaise. Devant moi mon patron est en train de vociférer et de hurler après moi. Le temps de reprendre mes esprits et me voilà , pataugeant dans un flot d’excuses plus nulles les une que les autres, m’enlisant un peu plus à chaque phrase :- veuillez m’excuser Monsieur, j’ai eu des tas d’imprévus et……..

 

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, lorsque je l’entends dire : - Tant pis pour vous, vos heures supplémentaires ne vous seront pas réglées et ce dossier urgent doit être impérativement sur mon bureau dès mon arrivée demain matin…

 

Tant pis pour moi ! tant pis pour moi ! Eh bien oui ! Ce soir je rentrerai tard à la maison… De toute façon personne ne m’attend, rien que mon fidèle et vieux chat. Mes yeux se rivent à nouveau sur l’écran de mon pc. Je fais des efforts pour concentrer mon esprit sur ce maudit dossier, mais l’envie de laisser couler encore mon imaginaire est trop forte………

Implacablement, mon esprit repart vagabonder dans ses méandres les plus secrets, les plus tortueux… Il y replonge sans cesse jusqu’au dénouement final !!! Maintenant je dois traverser le hall pour aller vers mon bureau et affronter les sourires narquois de mes collègues.............

            Je sais que ce moment va être difficile et agréable pour moi… Je les vois me dévisager, je sens leurs regards méprisants et insistants peser sur moi, j’entends les chuchotements sur mon passage, et cette honte, ma chère honte je sais qu’elle va m"emmener vers un orgasme titanesque quand je serai seule avec moi-même dans mon bureau!!!!!

 

Merci Monsieur...........................

 

 

 

Louise

 

 

 

 

Par François - Publié dans : Contributions
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Jeudi 7 septembre 4 07 /09 /Sep 05:44

Bonjour à tous...

"La sieste d'Isabelle" est un récit de Chris, une jeune femme qui vient de créer son propre blog sur Internet... J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à la lecture de ce texte et, ce matin, j'ai tout simplement envie de vous le faire partager...

Bonne journée à tous...

L A     S I E S T E     D’I S A B E L L E

 

 

 

 

 

Par un bel après-midi de printemps, Isabelle a décidé de profiter des premiers rayons de l’astre rayonnant.

 

 

 

Elle installe une couverture sur sa pelouse à l’abri des regards indiscrets des voisins. Elle se sait seule et tranquille, elle retire sa petite robe et s’allonge nue, les yeux regardant le ciel.

 

 

 

Il fait beau, il fait bon, un léger souffle de vent parcourt sa peau qui s’offre pour la première fois de l’année à ce plaisir.

 

 

 

Elle observe le manège de ces grands oiseaux qui planent au dessus d’elle. Les conditions sont idéales et les amateurs de vol libre se régalent.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle envie leur liberté.

 

 

 

 

 

 

 

Ses yeux se brouillent à fixer le ciel, elle se retourne et se met sur le ventre offrant ses fesses à la caresse du vent et aux rayons du soleil. Elle ouvre un livre et aussitôt son esprit s’évade.

 

 

 

Elle se retrouve dans un château en Ecosse à l’époque de son homonyme Isabelle de France dite la Louve.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle se délecte de ces aventures et de ces intrigues.

 

 

 

 

 

 

 

Une ombre cache le soleil, Isabelle pense qu’il n’avait pas annoncé cela à la météo, il ne devait pas y avoir de nuage. Elle ne se formalise pas davantage et poursuit sa lecture tant son envie est grande de savoir ce qu’il arriverait à cette jeune châtelaine que l’on a mariée pour de sombres raisons d’intérêt entre la cour d’Ecosse et la cour de France.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle est dans la peau de la jeune mariée.

 

 

 

 

 

 

 

L’ombre reste immobile. Un nuage ne reste pas en place, Isabelle s’interroge. Elle lève les yeux de son livre et voit un homme, bel homme en vérité, qui la regarde un sourire aux lèvres.

 

 

 

Il n’avait pas voulu déranger la jeune femme. Le tableau qu’elle lui offrait le ravissait.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle est surprise.

 

 

 

 

 

 

 

« Vous ! » s’exclame-t-elle « pourquoi ne m’avez-vous pas averti de votre visite, je me serais préparée à vous recevoir. »

 

 

 

Il préfère l’effet de surprise et la trouver ainsi le comble visiblement.

 

 

 

En bonne maîtresse de maison, elle lui propose de prendre place au salon de jardin.

 

 

 

Elle se lève et remet sa robe pour aller chercher quelques rafraîchissements. Devant son air étonné, elle ne lui laisse pas le temps de parler.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle s’en va.

 

 

 

 

 

 

 

Elle revient avec un plateau de jus de fruit et s’installe en compagnie de son visiteur imprévu.

 

 

 

Elle est toujours ravie de recevoir un ami. De plus, quand cet homme lui rend visite, leur conversation est toujours animée. Il la connaît bien maintenant, il sait qu’elle démarre au quart de tour et la provoque systématiquement. Il lui demande pourquoi elle a remis sa robe.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle se rebelle.

 

 

 

 

 

 

 

Elle est en colère envers les gens qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas. Elle lui a dit ce qu’elle a lu quelques jours auparavant :

 

 

 

 

 

 

 

Un homme a été condamné à 5000 francs d’amende pour « exhibition sexuelle imposée », tout simplement parce qu’il a pris un bain de soleil dans son propre jardin, aux motifs que « le seul fait de se montrer en état de nudité complète constitue un acte d’exhibitionnisme sexuel, indépendamment de toute intention lubrique ou provocatrice, qu’en effet, les règles sociales et morales interdisent de montrer certaines parties du corps telles que les parties génitales… »

 

 

 

 

 

 

 

Bien sûr le débat ne fait que commencer, il sait qu’elle voudra avoir raison et il se fait l’avocat du diable.

 

 

 

Fidèle à elle-même, elle explique, démontre, prouve par tous les moyens qu’elle a raison. Elle affirme que ce qui est arrivé à cet homme est inadmissible.

 

 

 

Si l’on n’est pas libre chez soi, où le sera-t-on ? Emportée par sa fougue, elle étend le bras pour accentuer son propos et renverse le jus d’orange sur le pantalon du monsieur.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle est confuse.

 

 

 

 

 

 

 

Elle s’excuse et lui demande de donner son pantalon qu’elle rincera immédiatement. Il sera sec avant son départ avec le soleil ambiant.

 

 

 

Il s’exécute mais quand elle revient il lui dit que son inattention mérite une punition.

 

 

 

Elle doit apprendre à ne pas s’emporter comme elle le fait, à se discipliner même si elle a raison. Elle doit apprendre à maîtriser ses pulsions et convaincre posément.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle le regarde.

 

 

 

 

 

 

 

Elle ne sait que dire, elle ne l’a jamais vu comme ça. Le sourire qu’il affichait à son arrivée a fait place à un regard sévère. Elle n’ose plus bouger. Elle est là devant lui, rouge de confusion. Que va-t-il faire ? Quelle idée a-t-il aujourd’hui ? Ce n’est pas la première fois qu’elle est maladroite, mais jamais il n’a réagi ainsi.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle s’interroge.

 

 

 

 

 

 

 

Il lui demande de s’approcher, ses yeux sont impérieux. Isabelle n’ose pas répondre. Elle est comme hypnotisée par ce regard. Elle, qui ne se laisse jamais faire, est incapable de réagir, comme aspirée par sa volonté.

 

 

 

Elle fait un pas vers lui, il la prend par le bras et la bascule sur ses genoux. Elle retrouve la parole et dit :

 

 

 

«  Non, vous n’allez pas faire ça ? Vous n’allezpas me donner la fessée à mon âge ? »

 

 

 

Elle remue, tente de se dégager, mais il la maintient fermement son bras passé autour de sa taille.

 

 

 

«  Je vais me gêner » répond le Monsieur, « il me semble que vous avez dépassé les limites. Vous êtes aussi écervelée quu’une gamine et comme une gamine vous allez recevoir une fessée bien méritée. Vous la méritez, non ?

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle acquiesce dans un murmure.

 

 

 

 

 

 

 

Les claques commencent à tomber sur ses fesses que ne protège que le tissu léger de sa petite robe. Elles tombent alternativement à gauche, à droite, à droite, à gauche. Isabelle sent ses fesses chauffer, mais ne dit rien, elle est attentive à ce qui lui arrive, elle analyse ces sensations. Le monsieur lui demande de se lever et de le regarder.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle se dresse devant lui.

 

 

 

 

 

 

 

Il lui demande alors de retirer sa robe, elle hésite. Il voit son hésitation et lui dit que si elle ne le fait pas elle-même, il s’en chargera mais que la fessée serait plus sévère.

 

 

 

Elle retire sa robe et se retrouve nue devant lui. Etrangement, elle se sent vulnérable.

 

 

 

Il l’a vue nue tout à l’heure pourtant, mais c’était différent. Elle était nue parce que tel était son plaisir et la voilà nue par sa volonté, à lui.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle est troublée.

 

 

 

 

 

 

 

Il lui demande de se remettre sur ses genoux. Elle ne résiste plus, elle sait que ce qu’elle est en train de vivre est une expérience spéciale, elle veut savoir.

 

 

 

Ses fesses offertes à la main de son ami, elle se sent possédée.

 

 

 

Les claques reprennent inlassablement. Ses fesses commencent à cuire sérieusement, elle gesticule, elle gémit.

 

 

 

Ses cuisses s’écartent sous l’impact des claques précises, une chaleur envahit son bas-ventre…

 

 

 

 

 

 

 

Un bruit dans le jardin, Isabelle se réveille.

 

 

 

 

 

 

 

Elle s’était endormie sur son livre.

 

 

 

Ses fesses chauffent, l’astre rayonnant a cuit ses fesses blanches, l’ombre qui la protégeait a disparu.

 

 

 

Encore dans son rêve, Elle sent une humidité entre ses cuisses.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle sourit.

 

 

 

 

 

 

 

L’heure de la « biafine » viendra plus tard.

 

 

 

Elle se tourne face au ciel. Elle se caresse encore perdue dans ses pensées. Elle revoit cet homme, elle revoit cette aventure étrange, elle aurait aimé que ce ne soit pas un rêve.

 

 

 

Elle regarde le ballet incessant des grands oiseaux blancs…

 

 

 

Un jour, un de ces oiseaux blancs l’emportera vers la liberté.

 

 

 

Elle sent son plaisir monter, elle ferme les yeux, se cambre, sous le ballet des oiseaux blancs.

 

 

 

 

 

 

 

Isabelle a joui.

Par François - Publié dans : Contributions
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