Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 18:16

Très motivée par vos encouragements, Louise nous propose aujourd'hui une suite à l'histoire de Mademoiselle Louise...

Bonne lecture à tous...

                                                L’arroseur, arrosé !!!……

 

 

 

 

  Comme tous les jours, je prends mon travail à heure fixe, en bonne et dévouée secrétaire que je suis. Mais , aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres………….

Les pensées qui habitent mon esprit, me font jubiler intérieurement . Je dois porter un pli urgent à Monsieur, mon directeur…………..

Mon cœur bat la chamade, des gouttes de sueur perlent sur mon front. Je me pince les joues, reprends mon sang froid, frappe à la porte……..

- Entrez Mademoiselle Louise, que voulez-vous ?

- Un pli urgent vient d’arriver pour vous Monsieur.

- Eh bien donnez, donnez et sortez, merci Mademoiselle…….

Cette lettre vous intrigue, une grande enveloppe blanche, sertie d’une rose rouge comme emblème. Vous la tournez et retournez dans tous les sens, vous la sentez, un parfum acre et doux à la fois s’en dégage………

L’envie de voir le contenu est trop grande, n’y tenant plus, d’un coup vif de coupe- papier, vous l’ouvrez ……

Juste quelques mots, écrits à la plume. C’est une invitation de Madame André, vous êtes convié chez elle, une soirée où elle aimerait vous rencontrer, des gens comme vous qui aiment vivre leurs fantasmes. C’est tout………. Cela vous intrigue, vous ne connaissez pas cette personne. Vous mettez la lettre dans un de vos tiroirs, deux jours passent et vous la reprenez en main. Dans un premier temps vous avez décidé de ne pas vous rendre à cette invitation, mais la curiosité est la plus forte : le samedi suivant, sur votre trente et un, vous vous rendez à l’adresse indiquée….

Vous voilà devant la porte d’un hôtel particulier très chic. Vous sonnez, un maître d’hôtel vous ouvre en vous saluant, vous lui donnez votre invitation et il vous somme de le suivre…..

Vous vous retrouvez dans une pièce douillette et chaude, aux couleurs chatoyantes. Vous attendez là plus d’une heure. N’y tenant plus, vous vous apprêtez à partir, quand, soudain, la porte s’ouvre et une apparition divine se trouve là, devant vous, Madame…………., une grande femme, au teint blanc et cheveux d’ébène, dans un corps magnifique gainée d’une robe fourreau d’un rouge vif. Elle vous fait face, en vous toisant de la tête aux pieds, d’un regard glacé. Elle vous adresse enfin la parole et vous dit :

- Ainsi, c’est vous le fameux PDG de la firme XXX… - Oui, Madame, mais je ne …. Pas le temps de finir votre phrase. Une paire de gifles retentit et vous avez le feu aux joues…. - Je savais que vous viendriez et en plus de votre plein gré. Eh bien puisque tu aimes mettre du piment dans ta vie, nous allons te satisfaire. - Oui , mais… Une autre gifle claque , plus sèche encore que la précédente !

 - Vous parlerez quand je vous le demanderai, pas avant, me suis-je bien fait comprendre ? – Oui, Madame.

- Déshabille-toi, plus vite, allez, à poil ! Sans comprendre vous vous exécutez, tant  votre excitation est forte…. La honte vous envahit car votre sexe est dressé, dur à en éclater. Madame éclate d’un rire sonore et vous bande les yeux en vous entraînant derrière elle…..

Vous entendez  des gens discuter, des rires, des gémissements, Madame ordonne : - Tu vas nous servir de table à mon amie et à moi-même. Vous êtes à quattre pattes, bien cambré, on pose un plateau de verre sur vos épaules nues et vos fesses, le contact froid vous fait durcir encore davantage….

Le majordome pose les coupes et sert le champagnes sur votre dos.

-  Tu n’as pas intérêt à bouger, si les verres tombent, tant pis pour toi !!!

Quand ces dames on bu leurs coupes, on enlève le plateau et Madame vous attirre entre ses cuisses, sa robe s’ouvre et vous sentez de longues janbes gainées de soie, elle ouvre son sexe humide et chaud, elle ordonne :

- Lèche petite salope , fais voir ce que tu sais faire, il paraît que c’est ta spécialité……..

Vous agitez votre langue, vous humez l’odeur de sa cyprine, elle se trémousse sous vos coups de langue agiles, vous pousse la tête dans son intimité à vous en étouffer.

Soudain vous sentez un doigt fouiller l’entrée de votre anus, vous voulez vous retourner , mais elle vous tire par les cheveux et vous en empêche…. Une brûlure vous déchire, un sexe énorme vous pénètre sans aucun ménagement, un cri s’étouffe dans votre gorge. Au début le va et vient dans votre intimité est douloureux, à la limite du supportable, puis très vite fait place au plaisir, vous bandez très dur et sans rien y comprendre , vous giclez sur le tapis et les pieds de Madame, en un râle retentissant………

Madame reste de marbre - C’est bien, dit-elle, tu es une bonne salope, mais maintenant il faut nettoyer tes saletés, comme une bonne chienne que tu es. Alors vous léchez votre sperme, sur le tapis, puis délicatement , sur les pieds de Madame…

Elle vous relève d’un coup sec, enlève votre bandeau et là !: Vous êtes face à Louise, oui, votre secrétaire, avec un gode ceinture à la taille, vêtue simplement de ses bas noirs, qui rit à gorge déployée, à en perdre haleine………..

 

 

 

 

Louise

Par François - Publié dans : Contributions
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 17:42

Cher ami,

 

 

 

 

            Je l’ai fait¼ Je n’avais pas d’autre solution¼ J’ai appelé mon père¼ On a déjeuné ensemble tous les deux¼ Je lui ai dépeint ma situation et je lui ai demandé de m’aider¼ Le temps que je me remette à flot¼ Que je me rétablisse¼ Il a refusé sous prétexte que ce serait me rendre le pire des services¼ Et j’en ai pris plein la tête¼ J’y allais fort quand même !¼ Je manquais pas de culot !¼ Après ce que j’avais fait !¼ Oser venir lui demander de l’argent¼ - Non, mais est-ce que tu te rends seulement compte du mal que tu fais à ta mère ?¼ Seulement ça, ça t’est bien égal¼ Il n’y a que ta petite personne qui compte¼ Ton petit confort¼ Tes petits plaisirs¼ Tu ne seras jamais adulte¼ Il y a longtemps qu’on s’est fait une raison¼ Si on n’est pas derrière toi¼ La preuve : il n’y a que quatre mois que tu es partie et tu as déjà trouvé le moyen de te mettre dans une situation impossible¼ Il serait peut-être temps que tu commences à te poser des questions, non ?¼ Que tu tires les conclusions qui s’imposent¼ Tu veux t’en sortir ?¼ Eh bien tu as une solution toute trouvée¼ Tu as toujours ton appartement là-bas dans l’état - pitoyable - où tu l’as laissé¼ Tu peux le réintégrer quand tu veux¼ Mais tu présenteras d’abord tes excuses à ta mère qui te posera ses conditions¼ Il est hors de question qu’on te laisse faire - une fois de plus - n’importe quoi¼

 

           

 

 

 

            Je ne retournerai pas là-bas¼ Plutôt crever¼

 

           

 

            Je vous embrasse… E L O D I E

 

 

Par François - Publié dans : petites annonces
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Dimanche 31 décembre 7 31 /12 /Déc 19:09

Excellente année à toutes et à tous....

E N     S T A G E

 

 

 

Ce stage en entreprise - pour mon BTS - j’avais eu la chance de pouvoir l’obtenir chez une disquaire… Royal… Une patronne cool qui filait je sais pas où tous les après-midi en me laissant le magasin… De la musique - celle que j’aimais - toute la journée… Et des filles, des tas de filles, qui entraient, qui tournaient, qui se penchaient, qui s’accroupissaient pour mieux voir les travées du bas… Le rêve…

 

 

Il y en avait trois qui passaient tous les jours… On avait fini par sympathiser et par s’offrir notre petit brin de causette quotidien… - Ca t’ennuie pas au moins?… M’ennuyer ?… Oh que non !… Non… Au contraire… - Oui… Parce que qu’est-ce qu’on se fait chier, nous, toutes seules toute une journée !… On sait pas quoi faire… On sait pas où aller… Tandis que là ici… Comment on aime ça discuter avec toi… Si, c’est vrai… T’es vachement sympa…

 

 

- Bon, mais dis, maintenant qu’on se connaît, tu peux bien nous laisser en prendre des CD… - Hein ?!… Ah non… Non… Sûrement pas… - Oh, tu parles !… Qu’est-ce t’en a à foutre ?!… Ca se verra pas… Et puis c’est pas à toi n’importe comment… - Ben justement raison de plus !… - Oh, t’as de ces principes, toi !…

 

 

Elles sont revenues à la charge le lendemain… - Allez, quoi !… - Non, j’vous dis… La petite brune en a attrapé un dans un bac… - Allez, tu me le donnes… - Non… - Eh bien viens le reprendre alors !… Et elle l’a glissé sous son tee shirt… Je l’ai poursuivie, coincée au fond du magasin… - C’est bon… C’est bon… Le voilà ton truc… Elle l’a jeté à mes pieds… - Mais c’est qu’il deviendrait mauvais en plus…

 

 

Pendant plus d’une semaine je ne les ai pas revues… Et puis, un mardi, elles sont arrivées avec un grand sac qu’elles se sont mises à remplir, sans rien dire, de tous les CD qui leur tombaient sous la main… - Qu’est-ce que vous faites ?… - Ben ça se voit pas ?… On se sert… - Ah, mais non !… Ah, mais non !… - Ah, mais si !… Ah, mais si !… Tu vas quand même pas nous chier un tank pour trois CD !… - Trois ?!… Il y en a au moins cinquante… Elles n’ont pas répondu… Elles ont voulu filer… Je les ai rattrapées… J’ai agrippé le sac… Je le leur ai arraché… - On t’aura, espèce de connard !… On t’aura…

 

 

Je les avais oubliées quand un matin… La patronne était à la caisse… Je déballais de la marchandise en réserve… - Il est pas là le jeune ?… - Il est occupé… Qu’est-ce que vous lui voulez ?… - Rien… Ca fait rien… On reviendra… Elle a voulu savoir… - C’est quoi ces filles ?… Tu les connais ?… - Comme ça… sans plus… C’est des clientes…

 

 

Le lendemain aussi… - Il est toujours pas là ?… - Non, mais je peux m’occuper de vous, vous savez !… - C’est quoi ces petites connes, tu peux me dire ?

 

 

Et encore… - Mais enfin qu’est-ce que vous lui voulez ?… - C’est parce que… Elles ont fait mine d’hésiter… - C’est parce que… on peut se servir, prendre tout ce qu’on veut d’habitude quand c’est lui… Il nous fait pas payer… Elles ont ri… - Du moment… du moment qu’on veut bien lui faire voir… Baisser notre culotte là-bas dans le coin derrière… Et le laisser toucher…

 

 

Il n’y a pas eu d’explication possible… Elle m’a viré sur le champ… Dehors, sur le trottoir, elles m’ont regardé partir en riant… 

Par François - Publié dans : histoires méchantes, méchantes histoires
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Vendredi 29 décembre 5 29 /12 /Déc 09:07

C U L T U R E

 

 

 

Je l’ai tout de suite senti que c’était une connerie… Tout de suite… Ca te trompe pas, ça… Seulement comment j’étais flattée !… Qu’un type comme lui… trente ans… un intello en plus… il s’intéresse à moi… Et pas que pour mon cul pour une fois !… Alors j’ai voulu tenter le coup… On savait jamais après tout… On m’avait toujours prise pour une conne… depuis l’école… toujours… J’avais fini par y croire à force… Et voilà que celui-là…

 

 

- Mais non !… T’es pleine de qualités, si, si, je t’assure !… On t’a pas appris à les exploiter, c’est tout… Tu vas voir… Fais-moi confiance, tu vas voir… Il m’apportait des tas de bouquins… - Tiens, tu liras ça… Et ça… Des trucs énormes… « Histoire de la philosophie occidentale »… « Méthodologie et rationalité »… Ca me tombait des mains au bout de deux pages… - Insiste !… Fais un effort !…

 

 

J’essayais, mais franchement… - C’est où que tu comprends pas ?… Tout… Partout… Les mots… Les phrases… Ca voulait rien dire… - Mais si !… C’est que… Il voulait m’expliquer… - Tu vois ?… - Non… Ca compliquait encore plus… Il s’énervait… - Tu le fais exprès, c’est pas possible !… - Laisse tomber, Marc, j’y arriverai jamais… - Mais si !… Allez, on recommence…

 

 

On y passait des journées entières. Pour rien… A quoi ça pouvait bien servir la philo n’importe comment ?… Ils étaient même pas d’accord entre eux tous ces types… Il y avait qu’une chose qui les intéressait c’était d’avoir raison… Et il y avait pas de preuves… De rien du tout… C’était des inventions tout ça… - Mais tu veux pas comprendre, c’est pas possible !… Comprendre quoi ?… Qu’ils étaient tous bourrés de préjugés et que pour les en faire démordre…

 

 

Alors il a décidé que… Bon… Bon… c’était pas la peine la philo… Il me fallait du concret… du solide… du scientifique… Et il m’a ramené tout un tas de trucs sur l’origine de l’Univers… Il y avait des fois il était plat… d’autres fois en forme de selle de cheval… d’autres fois encore c’était une bulle en expansion… Pour les uns il y avait eu un Big Bang… pour les autres non… Ils pouvaient pas se mettre d’accord une bonne fois pour toutes, non ?… Non… Ils pouvaient pas… parce que c’était justement comme ça qu’elle avançait la Science… en échafaudant des hypothèses… en se trompant…

 

 

Oui, ben moi, j’avais pas que ça à faire… J’attendrais qu’ils soient sûrs alors… A quoi ça servait de se farcir la cervelle avec des trucs que tu savais même pas si ça tenait la route… Mais c’était ça la culture enfin !… Ah, ben si c’était ça on pouvait s’en passer alors !… Moi, je pouvais en tout cas… Très très bien…

 

 

- Mais c’est ridicule enfin !… Quand tu penses à toutes ces générations qui ont cherché la vérité avec passion, à tous ces gens qui sont morts pour elle… alors pour toi tout ça ça a servi à rien ?… A pas grand chose… La preuve !… Ils avaient rien vraiment trouvé… Et si c’était tâtonner dans le brouillard pour arriver nulle part ça valait vraiment pas la peine… - Tu comprends rien à rien… Tu m’agaces, tiens !… Et pas qu’un peu… - Toi aussi, tu m’énerves !… Et arrête de me casser les pieds avec tout ça… Tu vois pas comment j’en ai rien à foutre de toutes ces conneries ?… - Des conneries ?… Ah, parce que passer ses journées à se pomponner et à traîner les boutiques de fringues ça valait mieux peut-être ?!… Sûrement, oui !… Au moins tu la ramenais pas… Tu passais pas ta vie à vouloir avoir l’air intelligent… De toute façon quand on voulait avoir l’air en général c’était que… Oui… Alors lui il faisait tout ce qu’il pouvait pour moi, pour me sortir de… Pour me sortir d’où ?… Je lui avais rien demandé, moi, rien du tout !… Oh, mais si je préférais… Si je préférais quoi ?… - Dis-le !… Mais dis-le !… - Non… rien… - M’envoyer en l’air avec tout ce qui passe, c’est ça ?… Eh bien oui je préfère… oui… au moins je m’éclate… au moins je perds pas mon temps… Et il aurait mieux fait de me tirer un peu plus, tiens, plutôt que de passer sa vie dans ses bouquins… Ca lui aurait remis les idées en place…

 

 

Et on s’est engueulés… Ca tapait trop juste ce queje lui disais… En tout cas ça m’a servi de leçon… Je suis pas près de me remettre avec un intello, moi !
Par François - Publié dans : regards.croises
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Mardi 26 décembre 2 26 /12 /Déc 09:02

Une fessée virtuelle, administrée à Kokine, au gré de nos pérégrinations sur un site ami...

L A     F E S S E E     D E     K O K I N E

 

 

 

J’ai rencontré Kokine en novembre dernier... Entre voisins limousins ça devait forcément finir par se produire… Même si, au téléphone, elle trouvait que c’était quand même un peu prématuré… - On se connaît à peine !… - Raison de plus !… Ce sera l’occasion de faire connaissance… Et on a fini par tomber d’accord, après de longues heures de palabres, pour se retrouver un vendredi soir, à Limoges, devant un plateau de fruits de mer…

 

 

Le courant est tout de suite très bien passé… Entre inconditionnels de la fessée !… Ce fut pratiquement notre seul sujet de conversation… Fessées données… Fessées reçues… Fessées rêvées… Fessées… Fessées… Fessées…Et Discipline Domestique… L’ambiance courtoise et conviviale qui y règne… Le forum de discussion… La galerie de portraits… Sa photo à elle… Et elle m’a raconté, avec force détails, dans quelles conditions avait été réalisée celle qu’elle avait fini par se résoudre à mettre en ligne…

 

 

Et puis les récits… On a été intarissables sur les récits… On a longuement parlé du nouvel emploi de Mademoiselle C… De la façon dont les fantasmes viennent se tisser à la vie quotidienne, dont l’imaginaire se nourrit d’éléments de la vie réelle pour échafauder des « histoires » qui nous disent au plus intime… Et elle a parlé chevaux… Elle s’est animée… Les courses dans le petit matin, cheveux au vent, en corps à corps avec l’animal dont les naseaux fument, dont la robe luit d’une mâle transpiration… Bonheur… Indescriptible jouissance…

 

 

- Et si je vous emmenais faire un tour à cheval ?… - A cette heure-ci ?!… En plein Limoges ?… Ben voyons !… - C’est pas loin… Elle m’a regardé, incrédule, s’est finalement résolue à me suivre, perplexe, sans véritable conviction… Au dehors il faisait incroyablement doux… On a lentement cheminé par les rues désertes… De rares voitures longeaient les trottoirs, lancées à plein régime… L’avenue Turgot… La rue de la Terrasse… Le café était encore ouvert… Et puis la place de la République illuminée remontée, traversée sur toute sa longueur… Je me suis arrêté à côté du manège de chevaux de bois qui l’habite en permanence… - C’est là… Elle s’est figée, m’a lancé un regard stupéfait… - Vous êtes complètement fou… J’ai soulevé la bâche… Elle a marqué un long temps d’arrêt et puis s’y est finalement engouffrée en se courbant… Le temps pour moi de dévisager avec volupté les deux globes tendus de ses adorables fesses…

 

 

On s’est fait face… Les chevaux de bois semblaient nous regarder en ricanant, baignés d’une clarté laiteuse… De l’index je lui ai soulevé le menton, l’ai obligée à relever la tête… - Tu sais que c’est pas bien du tout d’écrire ce que tu écris… Des textes qui suintent le plaisir que tu prends à les rédiger… Des textes que n’importe qui peut lire… Regarde-moi !… Elle a plongé ses yeux dans les miens, les a presque aussitôt baissés… - Regarde-moi !… Allez !… Et montrer ton derrière comme ça à tout le monde sur Internet !… Non, mais tu n’as pas honte ?… - Si !… - Ah, tu vois !… Reconnais que ça mérite une bonne correction… Une bonne fessée… Et tu vas la recevoir, là, maintenant… Baisse ta culotte, Kokine… - Oh, non !… - Si !… Et, dans ton intérêt, il vaudrait mieux que tu ne tardes pas trop… Parce que… plus tu vas prendre ton temps et plus je serai obligé d’être sévère… Et elle l’a fait… Jusqu’en bas… Petite culotte blanche dont elle est sortie, un pied après l’autre… - Dégrafe ta jupe !… Elle m’a tourné le dos et l’a laissé tomber… J’ai fait interminablement durer pour le plaisir de ses fesses abandonnées-données sans défense à mes regards, pour le plaisir de son attente-appréhension-désir… J’ai fait durer… Si longtemps…

 

 

Et puis je l’ai doucement prise par le coude, menée jusqu’au cheval de bois le plus haut… - Monte !… Elle l’a escaladé, jambes brièvement ouvertes pour s’y instaler, à califourchon… D’une ferme pression sur la nuque je l’ai fait s’incliner vers l’avant, s’allonger de tout son long sur le corps de l’animal dont elle a enserré des deux bras l’encolure… Ma main a erré au hasard sur ses fesses, les a peu à peu apprivoisées, apprises, en effleurements légers, se les est lentement appropriées, s’en est délibérément emparée… La première claque, lancée à toute volée, l’a fait sursauter, lui a arraché un gémissement… D’autres ont aussitôt suivi, en pluie… Sa croupe bondissait et se cabrait… Elle accompagnait chaque coup, en rythme, d’une petite plainte rauque de fond de gorge… J’ai accéléré la cadence, tapé plus fort… Elle a crié, s’est distordue, disloquée, pantelante, généreusement impudique…

 

 

J’ai cessé d’un coup… Elle s’est redressée… Elle haletait… - On va faire un tour ?… Comme Mademoiselle C ?… J’ai enfourché, moi aussi, le cheval de bois, me suis installé derrière elle, bien calé contre ses reins… - Allez !… En route !… Elle n’a pas bougé… J’ai pressé plus fort mon désir contre elle, passé un bras autour de sa taille, respiré tout près dans son cou… Elle s’est raidie, a simultanément éperonné, des deux genoux, les flancs de l’animal… Et elle a chevauché… A course folle, éperdue, bondissante… Elle se soulevait sur la selle… retombait… se soulevait… retombait… De plus en plus haut… De plus en plus vite… De plus en plus fort…De ma main plaquée contre sa bouche j’ai tu ses cris de bonheur quand son plaisir a surgi…

Par François - Publié dans : Fessées
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