Jeudi 30 novembre 4 30 /11 /Nov 07:23

La suite du texte mis en ligne le 13 Septembre dernier...

Bonne lecture à tous...

S E R V I C E     M I N I M U M  ( 2 )

 

 

 

 

 

Un soir elle est rentrée survoltée… - Tu sais pas quoi ?… J’ai fait la connaissance d’une femme extraordinaire… vraiment extraordinaire… - Encore !… Décidément… - Je te la ferai rencontrer… Je lui ai promis… On est exactement dans la même situation toutes les deux… Mariées avec des types qui assurent pas du tout sexuellement… Lui, c’est carrément impuissant qu’il est… Alors elle fait comme moi : elle s’éclate ailleurs… Et il est bien obligé d’accepter… Vous êtes bien obligés d’accepter… Tout ce qu’on veut… Vous avez pas le choix… Parce que c’est déjà bien beau qu’on vous garde quand même, non, tu crois pas ?…

 

 

 

Le surlendemain, en rentrant, je les ai trouvées toutes les deux installées sur le canapé du salon… - Je te présente Fabienne… Qui m’a détaillé de la tête aux pieds… - Alors c’est ça ?… C’est le cocu ?… Il baisse les yeux… C’est bon signe… Oh, il a des dispositions, c’est évident !… Tu serais vraiment idiote de pas en profiter… Il y a combien de temps que t’as pas baisé, toi ?… Eh bien réponds !… - Huit mois… - Ca commence à faire, hein !… Et à moins d’un miracle… Bon, mais dis-moi : elle est vraiment si petite que ça ?… Fais voir… Mais c’est qu’il joue les vierges effarouchées en plus !… Allez, fais voir, j’te dis !… Elle a éclaté de rire… C’est pas possible !… Non, mais à ce point-là c’est pas possible !… Elle s’en est emparée, a fait reposer dans le creux de sa main… Il y a rien, mais il y a rien !… Et encore il bande !… Qu’est-ce que ça serait !… Bon, allez, tu nous laisses maintenant… On a à parler toutes les deux…

 

 

 

- Hou la la !… Ce pied que j’ai pris !… Il assure vraiment trop Stephen… Des trois  c’est vraiment celui qui… Attends… Je vais te raconter… Ca te passera un moment… Et puis non… Encore mieux… Tu sais pas ce qu’on va faire?… Mets-toi à l’ordi… Tu vas noter… Tu seras mon secrétaire… le secrétaire perpétuel de mes histoires de cul… Ca te fera participer un peu… Non, parce que, c’est vrai, ça  doit pas être drôle pour toi de te sentir sans arrêt exclu… Bon, allez, tu es prêt ?… Je commence…

 

 

 

- Tu viens ?!… Je t’emmène au restaurant… Moi, je voulais pas, c’est Fabienne qui a insisté… «  Mais si, amène-le !… Pourquoi tu veux pas ?… C’est à cause de Stephen ?… Au contraire… Au contraire… Ce sera encore plus rigolo… » Donc il y aura Stephen… Et Martial, l’amant de Fabienne… Et aussi son cocu… Vous vous entendrez bien, tu verras… C’est fou ce que vous vous ressemblez tous les deux… Elle arrête pas de me le répéter Fabienne… Et tu verrais tout ce qu’elle arrive à lui faire faire… « Mais toi aussi tu peux !… Bien sûr que tu peux ! »

 

 

 

- T’as vu ça comment on s’en est donné avec Stephen !… Quatre fois… Et encore !… Si j’avais voulu… Ca le motivait en plus que tu sois là… Non, c’est génial cette idée qu’elle a eue, Fabienne, que tu assistes à tout… J’aurai plus besoin de te raconter après comme ça… C’est toi qui le feras… Tout seul… Comme un grand… Tu tiendras mon journal… Mon journal d’avec Romain… D’avec les autres aussi… Et tâche de t’appliquer, hein !…

 

 

 

Elles se sont regardées, elles ont fait la moue, elles ont hoché la tête… - C’est complètement nul, oui !… - Quatre pages pour strictement rien dire… - Un ramassis de banalités… - On croirait jamais qu’il était là !… - Il l’a fait exprès, c’est évident !… Ca sent la mauvaise volonté à plein nez… Moi, je peux te dire que Sébastien il m’aurait rendu une copie comme ça il se serait pris une de ces fessées !… Tu fais comme tu veux, mais moi, à ta place, je laisserais sûrement pas passer un truc pareil…

 

 

 

- Oh, te rhabille pas !… Pour aller à l’ordi c’est pas la peine… Parce que tu vas t’y remettre… Tout de suite… Et tu n’en bougeras pas tant que t’auras pas fini… Tant que je serai pas satisfaite de ton travail… Allez !…

 

 

 

- Bon, eh bien voilà !… Tu vois quand tu veux… - Comme quoi une bonne fessée, c’est encore ce qu’il y a de plus efficace… Je te l’avais dit… Il y a que ça qu’ils comprennent… Il y a que comme ça qu’on les tient… Et même… Tu devrais lui en redonner une autre… Maintenant… Pour que ça rentre bien… Pour qu’il sache qu’il peut pas se permettre de se moquer impunément de toi comme ça…

 

 

 

- Les pauvres !… Ca doit pas être facile pour eux quand même !… Si, c’est vrai !… A nous regarder nous envoyer en l’air comme des folles, sans arrêt, avec nos amants sans avoir jamais droit à rien… - Ils en crèvent d’envie en plus… - Ils ont qu’à s’amuser entre eux… On les empêche pas… - Ca peut être rigolo comme tout en plus !… Un impuissant avec un bonzaï… Mais oui, ils vont nous montrer ça… - Je suis sûre qu’ils ont jamais sucé une queue… Ni l’un ni l’autre… Ce sera une première… Allez, allez, on vous regarde…   

 

 

 

- Comment ça s’est arrangé, toi et moi finalement!… C’est spectaculaire, non, tu trouves pas ?… Si, je trouvais, si !… - Il était temps… Parce que je ne te cacherai pas que je pensais sérieusement à te quitter… On n’avait plus rien à faire ensemble… Rien… Elle a soupiré… - Si seulement tu avais voulu y mettre du tien un peu plus tôt aussi… Ca m’aurait évité d’avoir à employer les grands moyens… Non, quand je pense à cette attitude inqualifiable que tu as eue chez la sophrologue… Alors que nous on faisait tout - tout ce qui était en notre pouvoir - pour te venir en aide… C’est là que j’aurais dû commencer à réagir… A te corriger… Et ça aurait été amplement mérité, non, tu crois pas ?… Eh bien réponds !… - Si !… - Ah, tu vois !… Mais il n’est pas trop tard… Il n’est jamais trop tard… Tu seras aussi puni pour ça… Au martinet, vu la gravité de la faute… Et devant elles… Je leur en ai parlé… Elles nous attendent…

 

 

 

- Déshabille-toi !… Complètement… Là… A genoux… Demande pardon !… - Pardon !… - Plus fort… On n’a rien entendu… Et regarde-nous !… - Pardon !… - C’est mieux… Allez, encore une fois !… - Pardon !… - Là… Tourne-toi maintenant !… Les mains sur la tête… Elle a cinglé la première… Une dizaine de coups… Et puis la sophrologue… Et puis Marie-Claude… Interminablement… - Viens t’allonger là… Sur le même canapé… La sophrologue s’est assise à mon chevet… - Fermez les yeux !… Détendez-vous !… Ne pensez à rien !… Vous entrez dans un long tunnel… Tout au bout, là-bas, il y a une lumière, une extraordinaire clarté… Vous la voyez ?… Vous êtes irrésistiblement attiré par elle… Vous accélérez le pas… Vous approchez… C’est tout près… C’est là… Vous y êtes… Le temps que vos yeux s’habituent… Là… Qu’est-ce que vous voyez ?… Hein ?… Qu’est-ce que vous voyez ?…

 

 

 

- J’en étais sûre… Sûre que tu avais été quelqu’un d’absolument odieux dans une vie antérieure… Je le sentais… Mon instinct ne me trompe jamais… Ah, tu leur en as fait voir aux femmes… Et pas qu’un peu !… T’as vu ce qu’elle t’a dit… Que tu ne pouvais éprouver de plaisir qu’en les rabaissant, en les humiliant… Tu étais devenu un orfèvre en la matière… Tu faisais preuve d’une imagination redoutable… Eh bien chacun son tour, mon cher… Et tu vas en baver… Je peux te dire que tu vas en baver…

Par François - Publié dans : Servitudes
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Lundi 27 novembre 1 27 /11 /Nov 21:29

Amusez-vous bien, les filles!... LOL...

J O U E T S

 

 

- Roxane?... C’est Amélie... Ca va ?… Oui, moi aussi… Dis-moi… J’organise une réunion genre Tupperware là… Chez moi, oui… Des toys… Si ça t’intéresse… Oh, le dernier cri… Et alors à des prix !… Tu vas complètement halluciner… Jeudi en huit ce sera… Le 14, oui, c’est ça… Je compte sur toi alors ?… D’accord… Oui… Oui… Moi aussi… Je t’embrasse…

 

 

 

Cette Amélie !… Toujours aussi snob… Des toys !… Elle pouvait pas dire des jouets comme tout le monde ?!… Mais ça pouvait quand même donner des idées… Parce que les gamins à force pour savoir quoi leur acheter… Ils avaient tout maintenant… Tout… Entre les grands-parents, les oncles et les tantes…

 

 

 

   Il y avait Camille… Et quatre femmes qu’elle ne connaissait pas, qu’Amélie lui a rapidement présentées… - Bon, ben on n’attend plus que Valérie… Elle devrait pas tarder… - Et Nina… - Oui, oh, Nina, ça m’étonnerait qu’elle vienne… Elle se donne de grands airs libérés, mais je suis sûre qu’en réalité elle est pas joueuse… - Elle sait pas ce qu’elle perd… Elles ont ri… - Moi, je critique pas parce que longtemps j’ai été comme ça… J’arrêtais pas d’en parler, de laisser croire, mais je le faisais jamais… - On est compliquées des fois, hein !?… - Oui, ben moi j’ai pas eu ce problème… J’en parlais pas, mais aussi loin que je remonte en arrière, je l’ai toujours fait… Avec tout et n’importe quoi… Sans arrêt j’étais à l’affût… Qu’est-ce qui pourrait bien me servir ?… Non, mais où elle était tombée là ?… Où ?… - Et toi, Roxane ?… Heureusement Valérie est arrivée…

 

 

 

- Bon, ben alors je commence… Par tout ce qu’il y a de plus classique… Elle les sortait, une par une, et elles se les passaient au fur et à mesure… Il y en avait de toutes les tailles, de toutes les formes, de toutes les couleurs… Elles les tâtaient, elles les parcouraient, elles les enrobaient, elles les enserraient… C’était à la fois dur et doux et beaucoup moins froid qu’elle ne l’aurait cru… - Oh génial celle-là !… Il y a les balloches !… Qui roulaient sous les doigts exactement comme des vraies… - Comment ça doit bien te claquer contre le cul !… Il y en avait qui vibraient, qui tournaient, qui faisaient de la lumière… Et une qui giclait quand on appuyait dessous… - Et celle-là c’est vraiment pour les gourmandes… Une gigantesque, démesurée, colossale… Qui leur a arraché de grands éclats de rire…

 

 

 

- Mais il y a pas que le sexe dans la vie… Il y aussi le cul… Et pour les petits trous de derrière regardez-moi si c’est pas génial tout ça !… Une mallette entière… - Je vous conseille les plugs… Vous serez pas déçues, vous verrez… - J’en prendrais bien une pour mon mari… La longue là… Ca va être son anniversaire… - Oui, eh bien moi, j’imagine la tête du mien si je lui ramenais un truc pareil… Il me foutrait dehors, oui… Ou il appellerait le SAMU… - Ils sont trop les mecs !… Pour leur faire sauter le pucelage de ce côté-là… - Le mien j’ai mis dix ans à y arriver, mais maintenant qu’il y a goûté… un vrai fanatique…

 

 

 

Il y en avait encore et encore… Des sacs pleins… Des trucs qu’elle aurait même pas eu l’idée que ça pouvait exister… - Regardez-moi ce petit bijou… - Ce sont des boules de geisha ?… - Non… Ca y ressemble, mais c’est beaucoup mieux… Spécialement étudié en laboratoire pour provoquer le maximum de sensations… Que vous soyez en mouvement ou immobiles… Des vibrations de nature et d’intensité différentes – une dizaine – qui se combinent, se chevauchent, s’entrecroisent… C’est magique… Vous m’en direz des nouvelles… - Faut absolument que j’essaie ça !… Vous inquiétez pas : de toute façon je le prends… Elles sont où tes toilettes, Amélie ?…

 

 

 

Elle est revenue… Elle s’est rassise… - Alors ?!… - Alors… ben alors… Hou la la, les filles !… Hou la la !… - Ca a l’air efficace en tout cas !… - C’est rien de le dire… Ca ressemble à rien de ce qu’on connaît… C’est fabuleux… Hou la la !… Je vais jouir… Je vais jouir… - Et c’est rapide en plus… Elle a renversé la tête en arrière sur le canapé et elle est partie, les yeux fermés, les narines palpitantes, les mains crispées sur un coussin qu’elle a pétri de toutes ses forces… - Hou la la… C’est de la folie… De la folie… Et ça repart en plus… Ca repart tout de suite…

 

 

 

Elles en ont toutes voulu un… Et Camille deux… - Des fois que ça tombe en panne… - Et toi, Roxane ?… Elle aussi… Oui, elle aussi… - Tu veux autre chose ?… Peut-être, oui… Le truc là-bas… - Celui avec les couilles qui ballottent ?… Celui-là, oui… Elle a payé, elle a dit au revoir à tout le monde et, en bas, elle a tout jeté dans la première poubelle venue…

 

 

 

Elle s’est tournée dans son lit, retournée… Trois heures durant… Elle s’est relevée, rhabillée… Dans la poubelle le sac était toujours là, sur le dessus… Elle l’a repris…   

Par François - Publié dans : Plaisirs solitaires
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Samedi 25 novembre 6 25 /11 /Nov 19:14

Aujourd'hui une contribution qui m'a été adressée par Louise, une lectrice assidue....

Mademoiselle Louise

 

 Une belle après-midi d’automne ! Une de ces journées que j’affectionne particulièrement. Par la fenêtre entrouverte de mon bureau, je pouvais voir au loin les arbres de la forêt qui affichaient leurs couleurs chatoyantes, le reflet du soleil qui caressait les feuilles doucement, tendrement, une dernière fois avant qu’elles ne s’envolent en tourbillonnant………………

 

A cette époque, j’étais secrétaire de direction d’une grande entreprise et mon patron, un homme froid et rigide, me sermonnait souvent à propos de mes rêveries incessantes. Je devais lui remettre pour la fin de journée un dossier urgent et je savais que si mon travail n’était pas terminé en temps et en heure voulus, j’allais au devant de graves problèmes. Je me mis donc immédiatement au travail, les yeux rivés sur l’écran de mon pc, et soudain sans savoir pourquoi je me laissai aller à penser aux mains de mon patron… Ces mains larges et fermes, à vrai dire, me faisaient beaucoup fantasmer et provoquaient en moi des réactions troublantes…

 

- Mademoiselle Louise, veuillez venir dans mon bureau immédiatement, j'ai besoin de vous pour un courrier urgent!....

 

L'ordre de Monsieur résonne dans ma tête et me saoule de bonheur et d'appréhension : Que me réserve t-il encore? Je sais très bien qu'en fait Monsieur n'a pas besoin de sa secrétaire, mais de" sa chose " pour assouvir je ne sais quelle perversion............

 

Cela m'excite terriblement ! Comme toujours ses ordres sont respectés à la lettre : je porte un tailleur gris souris très strict, bien échancré sur l'encolure, sans aucun sous -vêtement dessous, uniquement des bas noirs à couture..........

 

Mon excitation est telle que sur mon passage, pour me rendre au bureau de Monsieur, les collègues que je croise ne peuvent en aucun cas manquer de voir la pointe de mes seins qui saillent, de façon obscène, sous mon tailleur.......... 

 

L’effet est immédiat, je mouille abondamment et sens la cyprine humidifier mon intimité rapidement.

 

Je suis devant votre porte :deux petits coups timides et j'entends votre voix rauque retentir..........

 

- Entrez, Louise, entrez, mais bon dieu, pourquoi étiez-vous si longue???? Vous savez que je n'aime pas attendre!!!  En conséquence vous devez être punie, vous le savez bien?

 

-Oui Monsieur ! Je lui réponds comme dans un songe, un brouillard épais m'envahit et je me dirige vers lui, fais volte face, me présente, offerte ..........

 

Monsieur me bascule sur ses genoux , doucement et fermement à la fois, en travers de son grand fauteuil noir , retrousse ma jupe d'un coup sec, et caresse longuement la chute de mes reins. Il laisse ses doigts flâner sur la courbe de mes fesses, les palpe, souligne l’ovale de chacun de mes deux globes généreux et offerts ……………

 

De temps en temps, il descend doucement jusqu’à mon sexe qu’il effleure tout aussi délicatement, laisse un doigt courir le long de ma fente qui s’entrouve naturellement et laisse couler son jus sucré. Il remonte sa main jusqu’à ma bouche, m’ordonne de lui lécher les doigts :

 

-Regarde ma petite cochonne, comme tu mouilles, tu devrais avoir honte !! Nettoie-moi tout ça, dépêche-toi ! D’un coup de langue avide je lèche ses doigts pleins de mon odeur, je me délecte du goût de ma mouille,  je n'en peux plus , je sens que je vais exploser de jouissance, quand soudain une vive brûlure me rappelle à mes sens, une autre puis encore une autre. Monsieur me fesse violemment, sans s'arrêter une seconde, je gémis, puis je crie, j'implore, je supplie, mais rien n'y fait, Monsieur se défoule sur mon postérieur en m'injuriant… Il me couvre de tous les noms lubriques qui lui viennent à l'esprit.......... La honte m’envahit , car je sais que la porte du bureau est entrouverte et que mes collègues n'en perdent pas une miette...........

 

En effet la porte de mon bureau est restée entrouverte, ce qui permet à mon patron de me voir en train de rêvasser alors qu’il passait par là, avant de se rendre en salle de conférence et de me prendre en faute. Je le vois faire demi-tour et le voilà planté devant moi, m’imposant sa haute silhouette, l’air sévère………..

 

Il se trouve devant moi, son bas-ventre à hauteur de mon regard, et je ne peux m’empêcher de fixer mes yeux sur son sexe et………………

 

             Puis le calme, mon fessier est bien rouge et me brûle agréablement. C’est une de ces souffrances douces que j’aime beaucoup, d’ailleurs Monsieur le sait bien et en profite allègrement……………. Monsieur ordonne, je me relève il me dit séchement : - Maintenant réparre tes bêtises et suce bien , que je n'aie pas encore à me fâcher,........

 

Je vous prends dans ma bouche, vous suce avidement, je monte, je descends le long de votre membre durci. Il palpite sous ma langue, dans ma bouche offerte comme un écrin de velours………. De mes doigts, je pétris vos couilles, les caresse, je les sens gonflées dans ma main, se durcir de volupté, je sens tout votre sexe vivre et vibrer sensuellement. Vous m’insultez, cela me plaît et me fait mouiller de plus belle, je dégouline de plaisir et de honte, ma langue revient titiller votre gland rougi d’excitation, je l’enroule de ma langue avide de vous, me faisant insistante sur le bout, je sens monter votre désir, vous empoignez ma chevelure à pleine main et, soudain, vous vous videz dans ma bouche… Je reçois votre nectar, chaud et parfumé, comme une récompense à ma docilité.............

 

Vous caressez doucement mon visage,en me regardant droit dans les yeux… Cela me gêne, je baisse la tête, je vous entends dire: - Eh bien, Louise, je crois que vous avez du travail maintenant !

 

- Oui , Monsieur,bien sûr, beaucoup de travail, merci Monsieur!!!

 

La porte de mon bureau a bien claqué et je sursaute sur ma chaise. Devant moi mon patron est en train de vociférer et de hurler après moi. Le temps de reprendre mes esprits et me voilà , pataugeant dans un flot d’excuses plus nulles les une que les autres, m’enlisant un peu plus à chaque phrase :- veuillez m’excuser Monsieur, j’ai eu des tas d’imprévus et……..

 

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, lorsque je l’entends dire : - Tant pis pour vous, vos heures supplémentaires ne vous seront pas réglées et ce dossier urgent doit être impérativement sur mon bureau dès mon arrivée demain matin…

 

Tant pis pour moi ! tant pis pour moi ! Eh bien oui ! Ce soir je rentrerai tard à la maison… De toute façon personne ne m’attend, rien que mon fidèle et vieux chat. Mes yeux se rivent à nouveau sur l’écran de mon pc. Je fais des efforts pour concentrer mon esprit sur ce maudit dossier, mais l’envie de laisser couler encore mon imaginaire est trop forte………

Implacablement, mon esprit repart vagabonder dans ses méandres les plus secrets, les plus tortueux… Il y replonge sans cesse jusqu’au dénouement final !!! Maintenant je dois traverser le hall pour aller vers mon bureau et affronter les sourires narquois de mes collègues.............

            Je sais que ce moment va être difficile et agréable pour moi… Je les vois me dévisager, je sens leurs regards méprisants et insistants peser sur moi, j’entends les chuchotements sur mon passage, et cette honte, ma chère honte je sais qu’elle va m"emmener vers un orgasme titanesque quand je serai seule avec moi-même dans mon bureau!!!!!

 

Merci Monsieur...........................

 

 

 

Louise

 

 

 

 

Par François - Publié dans : Contributions
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Jeudi 23 novembre 4 23 /11 /Nov 18:42

L A     P R E M I E R E     F O I S     D E     P I E R R E

 

 

Je l’ai tout de suite détestée… Dès le premier regard… J’ai cru la détester… - Qu’est-ce que c’est que ça, là, sur le palier ?… - Hein ?!… Mais c’est notre nouvelle voisine !… Ce matin ils sont arrivés… Lui, il est représentant… Il rentrera que le week end… Et elle je sais pas trop… Elle fait rien j’ai l’impression…

 

 

Elles ont tout de suite sympathisé toutes les deux… Elles se prêtaient, s’empruntaient, se rapportaient constamment toutes sortes de choses… - Entre femmes seules !… Enfin presque… Elles se voyaient tous les jours… Quand je rentrais de la fac elle était là… Systématiquement là… Toujours là… - Tu dîneras bien avec nous ?… Et elle restait… Je la détestais… Je détestais sa quarantaine épanouie, ses corsages gonflés, ses maquillages provocants… Tout… - Elle gagne à être connue, je t’assure !… - Tu parles !… - Fais un effort au moins !… - Je fais que ça… J’arrête pas…

 

 

Le week end elle le consacrait tout entier à son mari… Et j’avais enfin ma mère pour moi tout seul… - Non, mais franchement qu’est-ce qu’elle peut bien lui trouver ?… A ton avis ?… - J’en sais rien et je m’en fous… - Il a rien pour lui ce type… Rien du tout… Le soir, de l’autre côté, juste derrière, à la tête de mon lit, le sommier grinçait, s’emballait… Il soufflait fort et – presque aussitôt après – ses ronflements ébranlaient la cloison…

 

 

Le lundi elles se retrouvaient toutes les deux… Avec gourmandise… Avec délectation… Elles partaient faire des courses, allaient au cinéma, passaient ensemble tout le temps qu’elles pouvaient… - On a pris notre petite vitesse de croisière finalement toutes les deux, hein ?… Dommage que…

 

 

Et puis, une nuit, en pleine semaine, je fus réveillé par des plaintes sourdes, des gémissements haletés de l’autre côté tout près… le temps de réaliser et son plaisir avait pris son envol… Plein et intense… Toute la nuit… Et toute la nuit je les ai accompagnés, submergé de honte et de volupté… Il ne l’a quittée qu’au petit matin… Je l’ai regardé s’éloigner, à grands pas, vers le boulevard Voltaire… Un immense type à la démarche d’araignée… A peine plus âgé que moi…

 

 

Et je me suis aussitôt montré délibérément, obstinément, odieux avec elle. En mutisme farouche. En réflexions cinglantes, offensantes… - Mais enfin !… Qu’est-ce qui te prend ?… Qu’est-ce qu’elle t’a fait colette ?… Tu as vu comment tu lui parles ?… - Laisse !… Laisse !… Ca lui passera…

 

 

Il revenait souvent le type. Deux fois, trois fois par semaine… Et il nous épuisait chaque fois de plaisir… Et je saisissais toutes les occasions qui se présentaient pour donner libre cours à ma hargne… - Ca suffit, Pierre !… Ca suffit !… Excuse-toi !… Excuse-le !… Il est d’une muflerie… Je sais pas ce qu’il a en ce moment… - Ce qu’il lui faudrait c’est une petite amie… A son âge… Je haussais furieusement les épaules… Je la haïssais !… Elle s’en fichait… Elle se mettait hors d’atteinte… Bien au-delà de tout ça… Plus je me montrais abject avec elle plus elle en rajoutait dans la superbe indifférence… Ca me mettait dans des rages folles… - Elle t’aime bien, tu sais, Colette… sans arrêt elle me le dit… - Oui, eh ben pas moi !…

 

 

Un matin le téléphone a sonné… C’était tante Hélène… Oncle Olivier était au plus mal… - Il faut absolument que j’y monte… Je te laisse… Tu verras avec Colette pour les repas… Et tâche d’être un minimum correct avec elle…

 

 

Le soir on a dîné en tête à tête tous les deux… Je mastiquais sans un mot comme un furieux… - Eh ben dis donc, c’est gai !… Pourquoi tu me fais la gueule comme ça depuis un mois ?… C’est à cause de Jacky ?… Tu es jaloux ?… Tu voudrais être à sa place, c’est ça ?… - Hein ?!… Non, mais ça va pas ?!… Sûrement pas, alors là !… - Eh ben viens si c’est ça que tu veux… Je te laisse la porte ouverte… Je peux pas mieux dire… Et elle est partie… Je suis resté stupéfait… Et perplexe… Elle était sérieuse ou elle se fichait de moi ?…

 

 

J’ai hésité toute la nuit… Y aller ?… Pour qu’elle me flanque dehors dans un grand éclat de rire… Ne pas y aller ?… Et passer pour quoi ?… Incapable de me décider, je me tournais et retournais dans mon lit, je tendais l’oreille… A côté tout était parfaitement silencieux…

 

 

Au matin j’ai enfin trouvé un compromis… J’allais lui apporter son petit déjeuner au lit et je verrais bien… J’ai préparé un plateau pour deux avec des toasts, le café au lait, la confiture, le jus d’orange… Le grand jeu…

 

 

La porte était effectivement ouverte… Celle de la chambre aussi… Elle dormait… Ou elle faisait semblant… J’ai posé le plateau… Je me suis approché… Dans la lumière chaude qui filtrait à travers les volets les cheveux étaient répandus sur l’oreiller, les épaules nues… J’ai regardé et puis… j’ai doucement – tout doucement – soulevé drap et couvertures… J’ai découvert les seins aux larges aréoles claires, aux pointes semi dressées… Je me suis penché tout près, j’ai posé mes lèvres… Deux mains sont venues dans mes cheveux, les ont caressés… Je les ai pressés ces seins, écrasés, enfoncés, mordus… - Doucement !… Doucement !… Tu me fais mal… J’ai tâtonné en bas… Avec impatience… Avec frénésie… Avec maladresse… Elle m’a aidé, guidé et j’ai libéré, à grands coups de reins, toute la violence, toute la rancœur que j’avais accumulées contre elle… - Là… Là… Tu avais tellement envie ?… Tu étais si malheureux ?… Et elle m’a longuement caressé… Le dos… Les reins… Les fesses…

 

 

Et on a recommencé… Plus tranquille… Plus calme… Pendant trois jours on n’est pratiquement pas sortis du lit…

 

 

- Eh ben dis donc, c’est une véritable métamorphose… Qu’est-ce que tu lui as fait ?… - Oh, on a beaucoup parlé, beaucoup discuté tous les deux… Hein, Pierre ?…

Par François - Publié dans : Premières fois
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Mardi 21 novembre 2 21 /11 /Nov 16:40

C A N I C U L E

 

 

 

( version de Frédérique )

 

 

Elisa ne dormait pas non plus… Elle s’éventait sur la terrasse… - Hou !… Quelle chaleur !… J’arrive pas à fermer l’oeil… - Moi non plus… - Et si on allait faire un tour à pied ?… Jusqu’à la mer ?… Il doit faire frais là-bas…

 

 

Elles ont retiré leurs chaussures… Les vagues leur ont léché les chevilles… Elles ont remonté leurs robes jusqu’en haut des cuisses, se sont aventurées plus loin… - On se baigne ?… - Sans maillot ?… - Il est deux heures du matin… Qui veux-tu qui traîne encore par ici ?… Il fait nuit noire n’importe comment… Et elles ont quitté leurs vêtements… Sont entrées résolument dans l’eau… Se sont abandonnées aux vagues, laissé bercer, porter, dériver, envelopper… Longtemps…

 

 

- Faudrait peut-être rentrer… Ils vont s’inquiéter là-bas… Elles ont retrouvé le sable à regret, lentement, jusqu’à leurs vêtements… Qui n’étaient plus là… - Hein ?!… Mais c’est pas possible !… Elles ont cherché à droite, elles ont cherché à gauche… Plus loin… Encore plus loin… Sont revenues… Ont recommencé… - On nous les a piqués, c’est clair… - Mais qui ça?… - Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ?… - Mais pourquoi ?… - Pour les vendre, tiens !… C’est pas la première fois que ça arrive ici… Je suis idiote aussi… J’aurais dû y penser… Elles se sont regardées… - On a l’air fines… Et elles ont éclaté d’un long fou rire nerveux…

 

 

- Qu’est-ce qu’on va faire ?… Faut trouver une solution… - Je vois pas laquelle… - Et si on allait frapper à une des maisons là-bas ?… On explique notre situation et… - C’est ça !… Toi, tu t’en fiches, t’es en vacances, mais moi je suis connue ici… Je tiens pas à être la risée de tout le pays… - Ou alors on s’enterre dans le sable et la première personne qui passe on l’envoie prévenir nos maris qu’ils viennent nous chercher avec des vêtements… - Encore mieux !… C’est pour le coup que… - Je sais pas, moi !… Je cherche… - Non… Le mieux - je vois pas autre chose - c’est qu’on essaie de rentrer… - Comme ça ?!… - C’est pas si loin… Et il y a personne dans les rues à cette heure-ci… Alors avec un peu de chance… - C’est risqué, non ?… - Ca sera encore plus risqué dans une heure… Il fera jour…

 

 

Personne sur le boulevard qui longeait la mer… Elles l’ont traversé aussi vite qu’elles ont pu… Rue du port non plus, personne… Elles ont accéléré le pas… Tourné à gauche… Une camionnette a fait son apparition tout en haut de la rue Emile Zola, s’est arrêtée… Elles se sont dissimulées dans l’embrasure d’une porte cochère qui a obstinément refusé de s’ouvrir… Un type est descendu… - Il nous a vues, tu crois ?… - Chut !… Tais-toi !… Il a arpenté le trottoir, tête levée vers les fenêtres, s’est approché, approché encore, immobilisé… Il a fait demi-tour, a encore levé la tête, est remonté dans la camionnette, reparti en marche arrière… - On l’a échappé belle !...

 

 

Le long de l’épicerie Dutourd étaient entreposés de vieux cageots… Elles en ont subtilisé deux, au passage, abri de fortune derrière lequel elles se sont efforcées de cacher, tant bien que mal, leur nudité… - Non, mais de quoi on doit avoir l’air ?… Et elles ont hâté le pas…

 

 

A l’angle de la rue Mermoz elles ont dû attendre qu’un retraité ait fini de sortir ses poubelles… - Alors il se grouille, ce con !… Il le fait exprès, c’est pas possible !…

 

 

Les derniers mètres elles les ont parcourus à la course… Aussi vite qu’elles ont pu… Le portail… Qu’elles ont poussé… Refermé… Sauvées… Et elles sont parties d’un fou rire interminable, irrépressible qui les a secouées toutes… - Non, mais c’est quoi cette mascarade ?… Ils étaient accoudés au balcon tous les deux là-haut… - Et ça les fait rire en plus… - Attendez !… Entre deux fous rires… - Attendez !… On va vous raconter… Elles se sont regardées et c’est reparti de plus belle… Impossible à arrêter… - Nous, que nos femmes se baladent à poil dans les rues on trouve pas ça spécialement drôle… Dégrisées brusquement… - On va vous expliquer… Si vous saviez ce qui nous est arrivé…

 

 

- Oui, figurez-vous !… Tout en montant les rejoindre… - On était sur la plage… Il y avait personne… Alors on s’est dit, vu la chaleur qu’il faisait, que… - Oui, ben commencez par aller passer quelque chose… Vous discuterez après… 

 

 

 

 

 

 

 

 

II

 

 

 

 

( version de Mickaël )

 

 

 

 

Nulle cette soirée, mais d’un nul !… Et il faisait une chaleur à crever en plus !… - On se casse ?… Et on a filé en douce, Victor et moi… - On fait quoi ?… Il a haussé les épaules… - Qu’est-ce tu veux faire à cette heure-ci ?… Tout est fermé… On est descendus vers la mer, on a marché au hasard sur la plage… - C’est quoi ce truc blanc ?… - Où ça ?… - Ben là !… C’était des sapes… Des sapes de nana… - Elles sont deux… Et il y a l’assortiment complet… Tu paries qu’elles se baignent à poil ?… - Oh, tu crois ?… On a scruté les vagues, mais il faisait trop sombre pour pouvoir discerner quoi que ce soit… - On leur pique ?… Comment elles vont être emmerdées !…

 

 

On a emporté notre butin sur un banc du boulevard désert et on l’a tranquillement examiné : une culotte et un string blancs, un seul soutien-gorge, blanc aussi, une robe bleue, un tee shirt jaune paille et un pantalon assorti… De la poche arrière Victor a triomphalement extirpé une carte d’identité… - C’est la mère Legrand !… - Non ?!… - Si !… - Et ça doit être sa sœur l’autre… Elle est venue passer les vacances chez elle… - Oh, putain !… Faut absolument qu’on arrive à les voir… - Facile… Elles sont coincées là-bas maintenant… Il va pas tarder à faire jour… On n’aura plus qu’à débouler par hasard… Et on s’est planqués, en attendant, sous les arcades…

 

 

- Les v’là !… Si, là-bas, c’est elles !… - C’est pas vrai qu’elles vont rentrer comme ça ?!… Eh ben dis donc elles ont pas peur !… - Mais alors forcément elles vont passer sous… On a jeté leurs vêtements dans une poubelle et on est retournés là-bas… A la course… - Ben où vous étiez passés ?… - Arrêtez la musique !… Eteignez les lumières !… Vite… Faites pas de bruit et venez voir !… Ca va valoir le coup… Tout le monde s’est agglutiné aux trois fenêtres sur la rue… - Mais il y a rien… - Chut !… Chut !… Attendez !…

 

 

Elles ont fini par apparaître en bas de la rue… Avec des tas de coups d’œil inquiets autour d’elles… - Oh, la vache, mais elles sont à poil !… Et tout le monde a regardé… Même les filles… Il y en a une qui a chuchoté derrière moi… - C’est pas vrai que c’est Madame Legrand… Elles se sont approchées… Tout près… En dessous… Un ronflement de moteur… Qui les a précipitées sous la porte cochère juste en face, plaquées contre elle, tournées vers nous… - Ce pot qu’on a !… En murmure à côté… - Mais oui, mes chéries, montrez-nous bien vos chattes… Comment elle est touffue sa sœur, t’as vu ça ?… Et cette paire de lolos qu’elle a !… Le moteur s’est éloigné… Elles sont reparties… Leurs deux paires de fesses ont majestueusement ondulé jusqu’à l’angle de la rue Paul Bert, ont disparu… Victor a poussé du coude… - On leur dit pas que c’est nous, hein, pour leurs sapes !… Ca craint…

 

 

Quelqu’un a rallumé… Ca a rigolé… Ca a commenté et puis ils ont voulu savoir… - Ben alors racontez !… Qu’est-ce qui s’est passé ?… Qu’est-ce qu’elles foutent à poil dehors ?… - Ca !… On en sait rien… Nous, on était juste descendus prendre un peu l’air… On les a vues, de loin, qui revenaient de la plage… Comme ça… Alors on s’est dit que sûrement elles remontaient chez elles, qu’elles allaient passer par ici… Et on a foncé, tu parles !

 

 

 

 

 

 

 

 

III

 

 

 

 

( version de la rue )

 

 

 

 

- Vous êtes pas au courant ?… Pour Madame Legrand… Vous êtes pas au courant ?… - Non… - Mais tout le monde parle plus que de ça !… - Qu’est-ce qu’il y a eu ?… - Il y a eu qu’avec sa sœur cette nuit elles ont profité de ce que leurs maris dormaient pour aller faire la java… - C’est pas possible !… - Si !… Et avec des gamins en plus !… Chez Molinaro ça s’est passé… - Molinaro !… - Molinaro, oui !… Et je peux vous dire que c’était quelque chose… Que ça y allait… L’alcool, le rat chiche et le reste… Tout !… Et elles il fallait pas leur en promettre à ce qu’il paraît… - C’est pas croyable !… - Mais le plus beau… vous savez pas le plus beau ?… Le plus beau c’est que tout ce joli monde a fini par aller faire ses cochonneries sur la plage… - Non !… - Si !… - Et que je te vais avec l’un et que je te vais avec l’autre… Ah, elles s’en sont donné !… Elles s’en sont même tellement donné qu’elles ont fini par s’endormir là et que quand elles se sont réveillées – les autres étaient partis depuis longtemps – elles étaient incapables de savoir ce qu’elles avaient fichu de leurs vêtements… Vous croyez que ça les a dérangées ?… Pensez-vous !… Elles sont rentrées comme ça, toutes nues à travers les rues, en rigolant comme des folles… Seulement je peux vous dire que les maris ils leur avaient préparé un sacré comité d’accueil… Ca !… - Pauvre monsieur Legrand !… Je le plains… Il est tellement gentil cet homme… Jamais un mot plus haut que l’autre… Toujours à se mettre en quatre pour vous rendre service… - Ah ça, on peut dire qu’il a pas tiré le gros lot avec elle… - Elle a pas toujours été comme ça pourtant !… - Oui, oh !… Disons qu’elle cachait bien son jeu… Parce que quand on sort d’où elle sort… On peut faire illusion un moment, oui, mais le naturel reprend vite le dessus… La preuve !…

Par François - Publié dans : regards.croises
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